MarcelPagnolLe ChĂąteau de ma mĂšreLe plus beau livre sur l’amitiĂ© enfantine: un matin de chasse dans les collines, Marcel rencontre le petit paysan, Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie entiĂšre en seront illuminĂ©es.Un an aprĂšs La Gloire de mon pĂšre, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d’enfance avec ce ChĂąteau de ma mĂšre (1958), CedeuxiĂšme tome est dans le prolongement chronologique de La gloire de mon pĂšre. Les familles Pagnol et Jaubert passent toujours leurs vacances au pied du Garlaban Le jeune Marcel Pagnol se lie d'amitiĂ© avec un jeune paysan, Lili des Bellons. Il Ă©voque le parcours des deux garçons pour poser des piĂšges Ă  oiseaux dans les collines. De leur cĂŽtĂ©, Joseph Ilsse sĂ©pareront pourtant quand Marcel suivra, en cachette, son pĂšre et son oncle pour l’ouverture de la chasse. Son 7 – Peur. Heureusement, Lili des Bellons, vient Ă  Lamaison devient vite le centre d’une sorte de paradis peuplĂ© de personnages pittoresques dont Lili des Bellons, un jeune paysan qui va devenir votre ami et vous initier aux « mystĂšres » des collines. Car du haut de vos 10 ans, vous contemplez les pĂ©riples qui vous attendent au-delĂ  des rochers et des vallĂ©es loin du foyer chantant et Lagloire de mon pĂšre. Twitter; Facebook; Boutique ; Synopsis. Fils d'une couturiĂšre et d'un instituteur, le petit Marcel apprend trĂšs vite Ă  lire et Ă  Ă©crire. Pour les vacances, la famille Pagnol qui s'est agrandie d'un frĂšre et Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Yves Robert a adaptĂ© pour le cinĂ©ma la Gloire de mon pĂšre » et Le ChĂąteau de ma mĂšre » avec Philippe CaubĂšre dans le rĂŽle du pĂšre et Julien Ciamaca dans celui du petit Marcel. © CrĂ©dit photo JĂ©rĂŽme PrĂ©bois Par Isabelle de Montvert-Chaussy - le 08/07/2021 Ă  10h24Mis Ă  jour le 10/07/2021 Ă  13h27 Nous commençons aujourd’hui notre sĂ©rie estivale sur les classiques de la littĂ©rature qui mettent en lumiĂšre l’étĂ© avec ce fameux roman de Marcel Pagnol. Il raconte les vacances familiales passĂ©es dans les collines provençales, Ă  La Treille Il va falloir monter, transpirer, ahaner, le paradis est toujours plus loin et plus haut. Le chemin bordĂ© de murets de caillasses brĂ»lantes sent le thym et le romarin, les cigales crissent, les pierres dĂ©boulent sous la semelle. Marcel ne le sait pas encore, mais c’est le commencement du bonheur. Et le bonheur, ça se mĂ©rite aprĂšs le tram, pour sortir de Marseille, sur les pas du pĂšre, la famille a grimpĂ© trois heures, bagages au poing, dans le massif du Garlaban. Entre...Entre colline et garrigueAu terme de cette harassante marche entre colline et garrigue, il y a la Bastide Neuve. Oh ! Rien d’extraordinaire, une grande bĂątisse dont le charme tient surtout au grand figuier qui abritera les dĂźners sous la lampe-tempĂȘte, les pistachiers, la vue sur la mer, le jardin sauvage piquĂ© d’oreilles de liĂšvre et de salsepareilles
 J’allais passer lĂ  les plus belles vacances de ma vie. »Les voilĂ  Indiens dans la garrigue, chenapans pissant dans les fourmiliĂšres, tirant la queue des larmeuses, grattant le ventre des cigales
Marcel et son frĂšre Paul s’émerveillent. Les voilĂ  Indiens dans la garrigue, chenapans pissant dans les fourmiliĂšres, tirant la queue des larmeuses, grattant le ventre des cigales, chassant les sauterelles. La gloire de leur pĂšre, ce sont deux bartavelles happĂ©es d’un coup Ă  la chasse par Joseph Pagnol. Un doublĂ© fabuleux pour un bleu comme lui, plus connu pour ses bonds prodigieux » pendant les parties de boules, sous les platanes de la place d’Aubagne. Aubagne, il est nĂ© lĂ , Marcel, sous le Garlaban, cette Ă©norme tour de roches bleues, plantĂ©e au bord du plan de l’Aigle » oĂč les chĂšvres galopent en libertĂ© surveillĂ©e. Une famille rĂ©unie, au temps du bonheur provençal Les Productions de la GuĂ©ville, TF1 Films Production Les Pagnol passeront six Ă©tĂ©s dans ces hauteurs et cette bastide, avec l’oncle Jules et le petit frĂšre des collines », celui qu’on surnomme Lili des Bellons. Six Ă©tĂ©s, pas plus, parce qu’Augustine, la mĂšre, va mourir. VoilĂ , pourquoi ces Ă©tĂ©s Ă  la Bastide neuve sont les plus beaux de son enfance, parce qu’auprĂšs d’Augustine, les jours Ă©taient doux et sa fragilitĂ© donnait l’élan aux plus moelleux des cĂąlins. Marcel aime la caresse de ses Ă©treintes autant que la brĂ»lure du soleil. Le massif du Garlaban, les collines de Pagnol qui surplombent Aubagne. WikipĂ©dia CC-Commons SuccĂšs phĂ©nomĂ©nalIl faut l’insistance d’HĂ©lĂšne Lazareff, directrice de Elle », pour que Marcel Pagnol se dĂ©cide Ă  raconter ses Souvenirs d’enfance ». Il gratte des cahiers, des feuillets volants, tapuscrits annotĂ©s Ă  la main, quasiment aucune rature 1
 La Gloire de mon pĂšre », le premier publiĂ© en 1957, est un succĂšs fabuleux, 50 000 exemplaires en quelques sait dĂ©sormais pourquoi Pagnol a tournĂ© dans ses » collines AngĂšle », La Trilogie Marseillaise », Manon des Sources » . Pourquoi il a achetĂ© 25 hectares de garrigue, qui ne font aucune culture mais beaucoup de poĂ©sie », pourquoi il fait monter des pierres Ă  dos de mules pour construire un vrai village, afin de tourner le Regain » de Giono
 La Bastide Neuve ne se visite pas. On y monte par le puits de Font de mai, qui a pris le nom de Raimu, le mas de Mascassan, la ferme d’AngĂšle
 LĂ -bas, les lieux ont perdu leur toponyme et ont Ă©tĂ© rebaptisĂ©s, Ă  son insu, par Pagnol.1 La Gloire de mon pĂšre — Le manuscrit », Ă©dition limitĂ©e de la maison Saint-PĂšres, 149 €. Roman disponible en brochĂ©, poche, audio et BD. Marcel Pagnol avait voulu, en vain, acheter La Bastide Neuve louĂ©e six Ă©tĂ©s de suite par ses parents. WikipĂ©dia . La suite de cet articleest rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©es. DĂ©couvrez l'offre Premium Le journal + L’accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© des articles depuis 1944 + l’Édition du soir + Le Club abonnĂ©s DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Se connecter 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. 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Il y a des voix et des sons ravissants ; des images d'un autre temps qui ont un charme apaisant ; et des paysages lumineux qui respirent la Provence. Certes, le jeu des acteurs n''est pas parfait. Certes, c'est un peu lisse, un peu propre, cela manque de rĂ©alisme. Mais, finalement, peu importe et ... peut-ĂȘtre est-ce mieux ainsi, car ce film parle d'enfance et c'est avant tout un souvenir heureux et idĂ©alisĂ©, qui fait Ă©cho Ă  notre imaginaire comme la chanson de Charles Trenet, "Douce France ...". Bref, un film qui fait sourire et qui est trĂšs apaisant. En adaptant le roman Ă©ponyme de Marcel Pagnol au cinĂ©ma, Yves Robert nous propose un film attachant. Les interprĂštes sont pour la plupart inconnus du grand Ă©cran, d’ailleurs aucun des trois enfants prĂ©sents ne poursuivra une carriĂšre d’acteur. Toutefois, ils offrent une partition sans faute, accordĂ©e avec l’accent de Provence. Pour nous guider dans l’histoire, la voix-off de Jean-Pierre Darras apporte les explications nĂ©cessaires avec une pointe d’humour pagnolesque. Au-delĂ  de ses quatre nominations aux CĂ©sar, La gloire de mon pĂšre » a Ă©tĂ© le meilleur film français au box-office de 1990. Vu le 14/04/ Gloire de mon PĂšre, c’est un film qui compte dans l'histoire du cinĂ©ma français comme d'ailleurs son frĂšre jumeau "Le ChĂąteau de ma MĂšre". Fils d'un instituteur marseillais, Marcel Pagnol passe ses premiĂšres annĂ©es dans le monde de l'Ă©cole oĂč il se montre naturellement bon Ă©lĂšve. Jeune adolescent, durant les grandes vacances de l'Ă©tĂ© 1904, il dĂ©couvre les garrigues environnant Marseille et le Garlaban, auxquels il restera attachĂ© toute sa vie. La vieille bastide louĂ©e par la famille devient le centre d'une sorte de paradis peuplĂ© de personnages pittoresques dont Lili des Bellons, un jeune paysan qui deviendra son ami et l'initiera aux mystĂšres des collines. Son pĂšre et son oncle s'adonnent Ă  la chasse et c'est un exploit de chasseur, un doublĂ© de bartavelles, qui deviendra la gloire de son pĂšre. Le film est trĂšs proche du duo de films "Jean de Florette - Manon des Sources", on y retrouve l'esprit du sud, des garrigues, le soleil, les cigales et l'accent marseillais, bref du Pagnol dans toute sa contrairement aux 2 films de 1986, celui-lĂ  est beaucoup plus tendre et beaucoup plus naĂŻf. Pas un personnage ici pour faire un coup tordu comme le Papet ou Ugolin mais la joie et la naĂŻvetĂ© d'un Marcel qui dĂ©couvre l'amour des collines. Curieux que l'acteur qui joue Marcel Julien Ciamaca n'ait pas poursuivi sa carriĂšre aprĂšs ce duo Ă  succĂšs, il avait quand mĂȘme un vrai talent qui restera noter Ă©galement la prĂ©sence puissante du duo Joseph-Augustine Philippe Caubert et Nathalie Roussel. J'ai d'ailleurs eu un vrai coup de cƓur pour la beautĂ© naturelle de cette derniĂšre, 34 ans Ă  l'Ă©poque du film mais qui sans ĂȘtre une pin-up dĂ©gage un charisme et un charme qui ne laisse pas indiffĂ©rent. Un autre coup de cƓur pour le jeune frĂšre de Marcel, Paul, jouĂ© par Victorien Delamare. Lui a aussi a eu une carriĂšre trĂšs courte mais ce jeune garçon m'a vraiment enthousiasmĂ© par ces rĂ©pliques et ces tirades trĂšs Ă  propos. 7 ans Ă  l'Ă©poque mais une verve peu Gloire de mon PĂšre est un film qui nous parle du bonheur simple, de la famille, de l'opposition tout en respect entre laĂŻcitĂ© et religion oncle Jules, de la nature, il nous rappelle aussi un temps oĂč tĂ©lĂ©vision, internet, et consoles de jeux ne venaient pas forcĂ©ment polluer notre vie commune et oĂč les gens n'Ă©taient pas moins heureux et sans doute plus... TrĂšs fidĂšle au livre de Pagnol. Bons acteurs, belle reconstitution, beaux paysages. Tout y est, nostalgie incluse. Les souvenirs d'enfance en Provence! L'univers ensoleillĂš de Marcel Pagnol, filmĂš par Yves Robert. "La gloire de mon pĂšre" est un film nostalgique! L'ambiance chaleureuse de la garrigue, les cigales, les lapins, les bartavelles et la musique de Vladimir Cosma! Le rĂšalisateur de "La guerre des boutons" sait faire monter la douceur d'un souvenir en tirant le meilleur parti de son dĂšcor naturel et des visages de Philippe CaubĂšre et Nathalie Roussel! Ce sont les 400 coups, la recherche du temps perdu et les expĂšriences passĂšes qui passionnent Yves Robert! Ne surpasse pas cependant le trĂšs Ăšmouvant "Le chĂąteau de ma mĂšre", sorti en salle en 1990 Ă  quelques mois d'intervalle du premier volet! DĂšjĂ  un classique... C'est beau, simple. On y voit les couleurs de la Provence le bleu, le jaune orangĂ©, le vert, ... on y entend les chants le vent, les cours d'eau, et LES CYGALES...Les joies du quotidien, des plaisirs simples... ce film est beau, simple mais beau. Aaaaah les romans de Marcel Pagnol ! Lui savait conter sa Provence natale ! Sa prose permettait au lecteur de presque sentir les senteurs des champs de lavande, d’humer les bonnes odeurs des plantes aromatiques, d’ĂȘtre bercĂ© par l’accent du sud
 et d’entendre le chant des cigales. Ben tiens, ça tombe bien, c’est justement sous le chant des cigales que s’ouvre le gĂ©nĂ©rique de "La gloire de mon pĂšre", adaptation cinĂ©matographique du roman Ă©ponyme de l’enfant d’Aubagne. Ce film est plaisant dans son ensemble, mais ce n’est selon moi la meilleure adaptation qui ait Ă©tĂ© faite. Pourtant, c’est la premiĂšre fois que le 7Ăšme art s’attaque au premier volet des Souvenirs d’enfance », dĂ©clinĂ©s non pas en trois mais quatre volumes. La premiĂšre surprise rĂ©side en la personne venue occuper le fauteuil du rĂ©alisateur Yves Robert. Lui qui s’était surtout illustrĂ© dans la comĂ©die, le voir ici Ă  la baguette Ă©tait pour ainsi dire impossible Ă  prĂ©voir. D’autant que le challenge Ă©tait de taille Ă  relever, surtout aprĂšs le passage quatre ans plus tĂŽt de Claude Berri avec son diptyque "Jean de Florette" et "Manon des sources", autres adaptations des romans de Pagnol. Le style est diffĂ©rent. ForcĂ©ment, les Souvenirs d’enfance » est sans doute l’Ɠuvre la plus personnelle de l’écrivain, puisque ces Ă©crits ne sont ni plus ni moins qu’une Ɠuvre autobiographique. En cela, on retrouve dans le film cette marque personnelle grĂące Ă  la narration en voix off du jeune Marcel. Yves Robert a essayĂ© de retranscrire Ă  l’écran tout ce qui a pu fasciner le jeune Marcel, jusqu’à l’en faire tomber amoureux la garrigue constituĂ©e par les grands espaces arides et escarpĂ©s, le chant des cigales, les oiseaux
 Il s’est Ă©galement efforcĂ© de retranscrire au mieux la nostalgie d’une Ă©poque rĂ©volue, l’admiration que le futur auteur avait envers son pĂšre, avec toute l’émotion qui allait de pair. Malheureusement, l’émotion ne parvient pas Ă  sortir de l’écran pour submerger le spectateur, et ce en dĂ©pit du respect quasi chirurgical de l’Ɠuvre littĂ©raire. Les diffĂ©rents plans effectuĂ©s sur la nature ont beau avoir Ă©tĂ© rĂ©ussis, il manque ce petit quelque chose d’indĂ©finissable qui aurait pu donner au film toute la puissance Ă©motionnelle des Ă©crits. Autrement dit, Yves Robert a Ă©chouĂ© lĂ  oĂč Claude Berri a rĂ©ussi. Nous avons pourtant des personnages hauts en couleur et criants de vĂ©ritĂ© je pense au brocanteur Jean Rougerie, au facteur Michel Modo, et Ă  François Pierre Maguelon. D’ailleurs, vous demanderez Ă  ce dernier comment voit un aveugle qui met des lunettes de soleil trop drĂŽle ! Ah ces expressions imagĂ©es marseillaises. Personnellement, j’adore ! J’en suis friand et je trouve mĂȘme qu’il n’y en a pas assez. Pour une partie du casting, mon avis est que c’est un peu surjouĂ© Ă  commencer par Philippe CaubĂšre dans la peau du pĂšre de Marcel. De mĂȘme que Didier Pain dans le rĂŽle de l’oncle Jules. Encore que je l’ai trouvĂ© nettement plus Ă  son avantage dĂšs que tout ce petit monde s’est retrouvĂ© rĂ©uni en vacances pour un sĂ©jour inoubliable surtout pour Marcel. Mais au moins, l’oncle Jules et Joseph Pagnol nous ont offert auparavant une confrontation savoureuse qui nous promettait quelques menues Ă©tincelles
 restĂ©es en l’état. A cĂŽtĂ© de ça, d’autres personnages auraient pu ĂȘtre plus emblĂ©matiques qu’ils ne le sont cette fois je pense Ă  Edmond des papillons dit Mond des Parpaillouns » interprĂ©tĂ© par Paul Crauchet, ou Ă  Lili des Bellons jouĂ© par Joris Molinas. Comme pour preuve de ce manque de conviction, on ne retrouvera ce dernier que dans la suite donnĂ©e, Ă  savoir le "Le chĂąteau de ma mĂšre". "La gloire de mon pĂšre" n’en demeure pas moins une Ɠuvre assez agrĂ©able Ă  suivre, mais on est loin de l’excellence des adaptations antĂ©rieures, qu’elles datent de quatre ans plus tĂŽt, ou bien plus anciennes encore, notamment avec la bande Ă  Raimu ou Fernandel. A noter aussi quelques petites erreurs, en particulier concernant les cigales celles-ci ne sont pas si faciles Ă  attraper il faut dĂ©jĂ  les voir, ce qui n'est dĂ©jĂ  pas si Ă©vident tant elles se confondent avec le dĂ©cor, et je doute qu’elles se mettent Ă  chanter quand elles sont enfermĂ©es dans une poche. Il faudrait le vĂ©rifier dans le roman. Mais reconnaissons tout de mĂȘme qu’Yves Robert s’en est tirĂ© honorablement. Une chose est sĂ»re, cela m’a donnĂ© envie de redĂ©couvrir d'une part l’Ɠuvre littĂ©raire originelle, et le diptyque de Claude Berri d’autre part. Acting,DĂ©cor,Ambiance tout y est ces une pĂ©pite du cinĂ©ma voir absolument,cette Ɠuvre est fide au livre de Marcel Pagnol. Que ce soit "La Gloire de mon pĂšre" ou "Le chĂąteau de ma mĂšre", chef d’Ɠuvre absolu pour le diptyque. DĂ©jĂ , les personnages sont super bien choisis. Chacun dans son rĂŽle est parfait du jeune Marcel, Ă  Joseph, pĂšre instituteur laĂŻque, Augustine lumineuse, telle que Marcel pouvait la dĂ©crire dans ses livres, l'oncle Jules qui roule les "R" avec dĂ©lectation, truculent Ă  souhait, Lili le frĂšre de cƓur de Marcel, Isabelle, premier amour de Marcel. Les paysages de la garrigue sont merveilleux, ces deux films respirent le le bonheur absolu, le bruit des cigales. Yves Robert a rĂ©ussi son pari qui est de garder l'esprit des deux livres, et une des choses les plus difficiles, de parler du bonheur de l'enfance. Un diptyque sans drame; un drame qui est juste effleurĂ© Ă  la fin du ChĂąteau de ma mĂšre, mais juste suggĂ©rĂ© pas besoin d'en faire des caisses avec la mort de cette derniĂšre, la mort de Paul et celle de Lili. Cette parenthĂšse de la fin montre cette idĂ©e que le bonheur est une chose fragile. Deux films Ă  voir et revoir sans modĂ©ration. TrĂšs peu de films adaptĂ©s sont des rĂ©ussites par rapport aux livres d'origine. Et bien ces deux lĂ  sont plus qu'Ă  la hauteur. Une petite madelaine de Proust ! J’ai vu ce film plusieurs fois Ă©tant gamin et il m’a fait rĂȘver ! Je l’ai revu hier et c’était un vrai rĂ©gal de me retrouver plongĂ© dans les superbes paysages de garrigue d’Aubagne, en compagnie de Lili, ce garçon qui va faire dĂ©couvrir Ă  Marcel les joies de la vie Ă  la campagne. Et puis c’est tellement bien Ă©crit, et cette captivante voix narrative, ces accents chantants, ces attitudes théùtrales, cette Ă©poque oĂč tout Ă©tait plus simple, plus lent, plus authentique. Un petit bonheur simple, Ă  dĂ©guster rĂ©guliĂšrement. Proche de Jean de florette et de Marius, une bonne adaptation du roman parue en 1990. Film sympathique et qui nous immerge dans cette vieille et belle Ă©poque. On filme parfaitement la Provence. Je le dĂ©conseille aux moins de 7 ans. 3/5 Yves Robert a rĂ©alisĂ© deux films sur la jeunesse de Marcel Pagnol, tout deux sortis en 1990 et adaptĂ©s de romans de Pagnol lui-mĂȘme. Premier du diptyque, "La Gloire de Mon PĂšre", Ă©voquant les premiĂšres annĂ©es d'Ă©cole du jeune Marcel, la naissance de ses frĂšres & sƓurs, et ses inoubliables vacances au fin fond de la campagne provençal. Outre le cadre idyllique fort bien reconstituĂ© au passage ! et les accents chantant des personnages, le film se rĂ©vĂšle fort attachant, grĂące Ă  des personnages haut en couleur et bonhommes. En particulier, le jeune Marcel touchant Julien Ciamaca, curieux, avide de lecture et d'aventure, et son pĂšre amusant Philippe CaubĂšre, enseignant citadin, cultivĂ©, politisĂ©, anti-religieux, et moraliste Ă  trĂšs bon fond, qui sa se retrouver confrontĂ© Ă  ses propres valeurs en pleine campagne. Ceci donnera lieu Ă  des situations dĂ©crites avec humour, nostalgie et tendresse, mais aussi une certaine intelligence qui est devenue trop rare dans le cinĂ©ma populaire. TrĂšs bon film sur l'enfance de Marcel Pagnol la bastide neuve la garrigue le tahoume tĂȘte rouge film trĂšs Ă©mouvant a voir pour les petits et les grands. Marcel Pagnol raconte dans 3 romans dont le premier opus est celui-ci. Tout est une incitation Ă  un pĂ©riple dans le Sud soleil, garrigue, accent chantant,
 On pĂ©nĂštre en douceur dans le monde de Pagnol, fidĂšle Ă  son roman. Insonciance de l’enfance, quĂȘte d’aventures, amitiĂ© ; le rĂ©cit est simple ; trĂšs narratif dans sa premiĂšre moitiĂ© pour mieux intĂ©grer des personnages hauts en couleurs dans la seconde moitiĂ©. Loin d’ĂȘtre une Ɠuvre majeure du cinĂ©ma français, c’est rafraichissant et superficiel. Mais c’est surtout un beau film d’étĂ© Ă  voir en famille avec des enfants de l’ñge de Marcel ; la magie fonctionne Ă  plein. Mon fils de 10 ans Ă©tait déçu que ce soit dĂ©jĂ  terminĂ© ; Le chĂąteau de ma mĂšre » est donc programmĂ© trĂšs Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse La gloire de mon pĂšre a rĂ©vĂ©lĂ© le comĂ©dien Julien Ciamaca, alors ĂągĂ© de 11 ans. Promis Ă  un bel avenir, l’interprĂšte de Marcel Pagnol ne renouvela plus l’expĂ©rience des plateaux de plus populaire des Aubagnais, Marcel Pagnol, s’est racontĂ© dans l’une des plus cĂ©lĂšbres autobiographies de la littĂ©rature française La gloire de mon pĂšre, premier des quatre tomes des Souvenirs d’étĂ© de l’écrivain. En 1990, Yves Robert adaptait ce rĂ©cit provençal sur le grand Ă©cran. Un long mĂ©trage Ă  retrouver Ă  partir de 21h05 sur 6ter aprĂšs un marathon de six aventures assurĂ©es par Buffy. Le rĂ©alisateur, vraie star du film Cette chronique du dĂ©but du XXe siĂšcle relate les souvenirs du jeune Marcel lors de ses vacances estivales en Provence. Son pĂšre Joseph est instituteur et sa mĂšre Augustin est couturiĂšre. Alors que Joseph est mutĂ© Ă  Marseille, toute la famille loue une maison dans la garrigue, y compris Tante Rose et Oncle Jules. Marcel se rĂ©vĂšle en apprivoisant la nature et les espaces, peu fier des qualitĂ©s de chasseur de son pĂšre. BientĂŽt, il fait la connaissance d’un enfant de son Ăąge, Lili des Bellons, qui connaĂźtra un destin tragique Ă  la fin de la Grande Guerre. Du cĂŽtĂ© du casting, aucun nom n’est en mesure de faire de l’ombre au cĂ©lĂšbre cinĂ©aste Ă  qui l’on doit La guerre des Boutons 1962, Le Grand Blond avec une chaussure noire 1972 ou encore Nous irons tous au paradis 1977. Aux cĂŽtĂ©s de l’ArlĂ©sien Julien Ciamaca, acteur incarnant l’écrivain durant son enfance, le casting est complĂ©tĂ© par Philippe CaubĂšre, nĂ© lui aussi dans le Sud, Nathalie Roussel ou encore Didier Pain, interprĂšte d’Oncle Jules. Marcel Pagnol de retour sur grand Ă©cran Trente ans aprĂšs la sortie de ce long-mĂ©trage, Julien Ciamaca n’aura plus jamais ajoutĂ© de lignes Ă  son CV de comĂ©dien aprĂšs La gloire de mon pĂšre et Le ChĂąteau de ma mĂšre. Celui qui fĂȘtera son quarante-deuxiĂšme anniversaire le 4 mai prochain avait mĂȘme confiĂ© dans une interview n’avoir jamais revu les autres enfants du tournage, qu’il a qualifiĂ© d’expĂ©rience ». Aujourd’hui, Julien Ciamaca est adjoint au Chef de Service chez EDF Tours. Marcel Pagnol et les autres enfants de son Ă©poque vont ĂȘtre remis Ă  l’honneur par Christophe Barratier Les Choristes qui signera l’adaptation du dernier tome de l’autobiographie de l’écrivain Le temps des secrets. Le tournage, prĂ©vu cet Ă©tĂ©, pourrait ĂȘtre retardĂ©. Marcel Pagnol finds his great friend Lili des Bellons in “Le ChĂąteau de ma mĂšre”, the sequel to “La Gloire de mon pĂšre” still directed by Yves Robert. But do you know the real story of Lili? My mother’s castle back to the hillsContentsMy mother’s castle back to the hillsThe real story of Lili des BellonsShare this After tasting the freedom of the hills of Provence in The glory of my father, the young Marcel Pagnol is back at the Bastide Neuve in My mother’s castle. Still directed by Yves Robert, the film is adapted from second part childhood memories of Pagnol, and also encroaches on the third The time of secrets. Indeed, during his walks in the hills, he meets Isabelle, his first love. A meeting that his friend Lili des Bellons does not see very well. Lili des Bellons and Marcel Pagnol – The Glory of my father © Gaumont The film ends with a painful epilogue, in which we learn that his great friend Lili died in action during the First World War. On tufts of cold plants whose names he didn’t know. Lili des Bellons was actually called David Magnan or more exactly Baptiste Joseph David Magnan. His nickname came from the fact that, when he was little, he couldn’t pronounce his first name correctly and people understood “Lili”. He lived with his parents north of the village of La Treille, at a place called Les Bellons, not far from the Bastide Neuve des Pagnol. Rare photo of David Magnan known as Lili des Bellons as a child It was his father, François Magnan seen in the films of Yves Robert, played by Pierre Maguelon, who helped Marcel’s parents to set up their vacation spot, with his cart. In his recollections, Pagnol describes Lili des Bellons like this He was a small peasant. He was dark, with a thin Provencal face, black eyes, and long girlish lashes. He was wearing, under an old gray woolen waistcoat, a brown, long-sleeved shirt that he had rolled up above his elbows, short breeches, and rope sneakers like mine, but he had no socks. Born April 18, 1898 in Allauch, he was Marcel’s vacation friend, the one who taught him the secrets of the hills. He was three years younger than the latter and the same age as Paul Pagnol. During World War I, David Magnan joined the 43rd Colonial Infantry Regiment. He died in combat on July 23, 1918 near the village of Vrigny in Champagne-Ardenne, during the “Friedensturm” operation. He was twenty years old. Lili des Bellons rests in the cemetery of La Treille, not far from the tomb of Marcel Pagnol. Here is his tombstone Tombstone of David Magnan known as Lili des Bellons We will find Lili in The Time of Secrets by Christophe Barratier on March 23, 2022.

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